Epreuve d'effort : des tests simples

On peut déterminer indirectement une VO2 max théorique. Il s'agit de tests de terrain en grandeur réelle à partir d'une course sur terrain plat.

Les deux tests les plus connus à part l'épreuve d'effort cardiologique sont le test de Cooper et le test de Léger.

Parfois obligatoire, le plus souvent nécessaire

On sait également que chez l'enfant en cours de croissance, cette interaction est encore plus évidente avec parfois des conséquences définitives.

Il semble donc nécessaire qu'une visite médicale d'aptitude soit effectuée avant de commencer un sport ou avant d'en reprendre la pratique après des années d'arrêt.

Arrêt du sport : des circonstances diverses

Il peut s'agir :

La fatigue

C'est le plus courant des signes indiquant la nécessité d'une diminution ou d'un arrêt de l'effort physique. L'effort musculaire entraîne une utilisation importante de glycogène, qui est un des substrats énergétiques de l'effort, et peut conduire à l'hypoglycémie. Il existe également une consommation accrue de l'autre substrat énergétique que sont les lipides. Il en résulte une production de corps cétoniques.

La visite médicale d'aptitude

• Elle permet, avant d'entreprendre un sport, de dépister d'éventuelles contre-indications.

• Elle permet également d'optimiser l'entraînement et les performances par une évaluation physiologique (VO2 max, fréquence cardiaque, etc.), biologique, psychologique, nutritionnelle.

• Elle décèle les signaux d'alarme indiquant un problème de santé ou un surentraînement.

La régularité de l'entraînement

L'entraînement est en général géré par un entraîne

Une adaptation de l'organisme

Une adaptation s'opère avec :

De quoi s'agit-il ?

Le cardiofréquencemètre est un récepteur qui peut être porté au poignet ou placé à la vue (sur un guidon de vélo par exemple) et qui affiche la fréquence cardiaque issue de l'émetteur.

La fréquence cardiaque

Il s'agit du nombre de contractions cardiaques par minute.

Principes généraux

L'échauffement prépare l'organisme à la montée en puissance des mécanismes énergétiques (fréquence cardiaque, consommation d'oxygène…) et aux sollicitations mécaniques du sport envisagé (préparation musculo-tendineuse) afin d'éviter les accidents.

On distingue ainsi :

Un matériel source de pathologies

Un matériel inadapté est source de pathologies.

Par exemple une raquette trop lourde peut provoquer des troubles tendineux. Le diagnostic d'une maladie d'insertion peut même nécessiter l'étude du sujet en situation avec son matériel (raquette, chaussures…) en statique et en dynamique.

Un mauvais entretien peut également être source de pathologies, comme une piste d'athlétisme mal entretenue qui est une cause extrinsèque de tendinopathies.