Et les enfants uniques ?
Selon Walter Toman*, la personnalité des enfants uniques ressemble plus à celle des aînés, qu'à celle des cadets. Plus stimulés intellectuellement, ils réussiraient bien leur vie professionnelle. Mais le manque de références fraternelles les poussent à rechercher la compagnie de personnes plus âgées qu'eux, et en amour, deux enfants uniques ne sauraient combler leurs attentes mutuelles de prise en charge et de soin. Leur point faible ? Ils seraient moins altruistes que les autres.
* Un des théoriciens de l'influence des positions fraternelles sur la personnalité des individus (début du XX e siècle)