- 1 - Tout commence par le test de Hühner...
- 2 - L'interrogatoire : les antécédents et les expositions
- 3 - Examen clinique des organes génitaux
- 4 - Le spermogramme est l'examen de base
- 5 - Parfois aussi : bilan hormonal, échographie, ECBU, caryotype...
- 6 - Traitement ou assistance médicale à la procréation
Examen clinique des organes génitaux
Après un examen général, les organes génitaux externes sont examinés à la recherche d'anomalies et d'indices pouvant orienter vers certaines causes.
Le spermogramme est l'examen de base
Le recueil de sperme a lieu après 2 à 3 jours d'abstinence. Il doit être analysé dans les deux heures qui suivent. On étudie le volume : s'il est supérieur à la normale, on parle d'hyperspermie, témoignant souvent d'une inflammation des vésicules séminales ; s'il est inférieur, c'est une hypospermie, suggérant une atrophie des glandes génitales. La concentration en spermatozoïdes, leur mobilité et la qualité de cette mobilité sont examinées. Mais aussi leur forme et leur tendance à se regrouper. De multiples anomalies peuvent ainsi être mises en évidence, ainsi qu'une azoospermie, absence complète de spermatozoïdes, soit autant d'indices orientant vers des analyses biochimiques supplémentaires : fructose, zinc, citrate, etc. A noter qu'en cas d'anomalies, le spermogramme devra être répété au moins deux fois.
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