Le " toxico " du travail a le goût du défi
Le « toxico » du travail a aussi le goût du défi, comme d'autres ont celui du risque. Le défi est source d'excitation et d'une satisfaction intense mais brève. Finalement, rien n'effraie plus le workalholic que les temps de vacances ou de loisirs. Comme un drogué, il ressent un état de manque et d'angoisse intolérable. L'arrêt de travail est donc parfaitement contre-indiqué pour l'addict au travail… mais la maladie (reconnue comme telle aux Etats-Unis) se soigne. Apprendre à prendre soin de soi et modifier sa relation au travail sont les principaux objectifs d'une telle thérapie.
* Jean Adès, Michel lejoyeux. Encore plus ! Jeu, sexe, travail, argent. Editions Odile Jacob, octobre 2001.
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