Qu'en est-il du risque de cancer du sein ?
Rappelons que l'étude WHI avait également annoncé une augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes traitées. Depuis, une étude française (E3N) a infirmé ce phénomène, en montrant que l'association estradiol et progestérone naturelle micronisée n'accroît pas ce risque, même au-delà de 6 années de traitement.En conclusion, il convient de reconsidérer complètement le THS au vu de cette dernière étude : le traitement hormonal substitutif est globalement bénéfique à deux conditions :·être débuté dès le début de la ménopause ;· ne faire appel qu'à de la progestérone naturelle. Cela vaut vraiment le coup d'en parler avec votre gynécologue !
Recevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de E-sante.
Votre adresse mail est collectée par E-sante.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.