Parkinson : les particules fines agressent aussi les neurones
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Des régions des Etats-Unis plus à risque que d’autres

Autre enseignement intéressant, les travaux donnent à voir des disparités entre les régions des Etats-Unis étudiées. Ainsi, dans certaines régions plus polluées telles que la vallée du Mississippi, l'Ohio, le centre du Dakota du Nord, certaines parties du Texas, le Kansas, l'est du Michigan et la pointe de la Floride, les habitants seraient plus susceptibles de développer la maladie de Parkinson. Dans ces régions, « la pollution dans ces zones peut contenir davantage de particules de combustion [issues] de la circulation et de métaux lourds provenant de l'industrie manufacturière, qui ont été associés à la mort cellulaire dans la partie du cerveau impliquée dans la maladie de Parkinson", analyse l’auteure de l’étude.

A l’autre bout du spectre, les Américains résidant dans la moitié ouest des États-Unis (des régions moins soumises à la pollution atmosphérique) seraient plus épargnés. Ils auraient un risque moindre de souffrir de la maladie de Parkinson par rapport au reste du pays.

"Dans certaines régions, les particules peuvent contenir davantage de composants toxiques que dans d'autres", subodore Brittany Krzyzanowski.

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