Un coût économique qui dépasserait le bénéfice médical

Les experts argumentaient que le coût du DVG est deux fois plus élevés que des tests classiques, soit 1.000 francs au lieu de 500. Il est donc vrai que son prix devrait poser des problèmes de gestion aux établissements de transfusion sanguine. Néanmoins, son utilisation massive devrait faire baisser les coûts.

Dix contaminations délibérées par an ?

L'histoire aurait donc pu se renouveler, car à l'époque du « sang contaminé » le gouvernement avait choisi de suivre ses experts. Martine Aubry en a décidé autrement. Nous ne pouvons que saluer son courage politique.