- 1 - Aérer son logement tous les jours
- 2 - Vérifier l'état du système de ventilation
- 3 - Ne pas bloquer le dessous des portes
- 4 - Eviter de brûler son huile de cuisine
- 5 - Limiter les feux de cheminée
- 6 - Ne pas fumer à l'intérieur
- 7 - Choisir les bons matériaux pour son logement
- 8 - Nettoyer avec des produits de base
- 9 - Bien entretenir ses appareils à combustion
- 10 - Les épurateurs d'air : des preuves attendues
Choisir les bons matériaux pour son logement
Au moment de bricoler, se creuser la tête peut être une bonne idée. Car tous les produits ne se valent pas, que ce soit pour le revêtement du sol, l'isolation ou la peinture. "En ce qui concerne les parquets et les peintures, l'étiquetage sanitaire est obligatoire", souligne Jean-Frédéric Bailly.
Depuis 2012, ces produits doivent indiquer clairement leur "note" de pollution intérieure. Les étiquettes A+ – sur un niveau allant jusqu'à C – indiquent les produits qui émettent le moins de composés organiques volatils. A cette réglementation s'ajoutent des labels : Emicode pour les colles, GUT pour les moquettes ou encore Ange bleu pour les revêtements de sol.
"On sait que les meubles relarguent des COV, notamment le formaldéhyde, ajoute le directeur études et recherches. Mais il n'y a pas encore de réglementation." Mieux vaut donc anticiper, surtout si on prépare l'accueil d'un nouveau-né, et monter les meubles avant son arrivée. Et surtout bien aérer.
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Qualité de l'air intérieur, Anses, 28 novembre 2017
Les bons gestes pour un bon air, Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (PDF en ligne), consulté le 26 janvier 2018
Guide de la pollution de l'air intérieur, Santé publique France (PDF en ligne), consulté le 26 janvier 2018