Le droit de ne plus souffrir
Il n’y a pas si longtemps, on la considérait comme un symptôme « normal ». Il a fallu attendre la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades pour que le soulagement de la douleur soit reconnu comme un droit fondamental de toute personne. Ceci dit, la douleur est subjective, profondément personnelle. Et donc complexe, et difficile à quantifier.
Si l’on s’en tient à la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans ces termes. »
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