- 1 - Est-ce vraiment une simple céphalée ?
- 2 - Quels sont les facteurs déclenchants ?
- 3 - Est-ce le moment d’opter pour un traitement de fond ?
- 4 - Pourquoi ne pas tenter des approches alternatives ?
- 5 - Et si c’était le ventre. Ou le stress ?
- 6 - Et si c’étaient les yeux ou de l’arthrose cervicale ?
- 7 - Des solutions prometteuses à court terme
Des solutions prometteuses à court terme
La recherche avance. L’espoir pour les migraineux rebelles vient d’une biothérapie attenue pour 2019 comme une révolution : il s’agit du premier traitement de fond « spécifique » c’est à dire qui cible le mécanisme de la crise de migraine. Quatre anticorps anti-CGRP -qui bloquent l’action de la molécule CGRP dans le cerveau, responsable de la crise - sont à l’essai. Une seule injection mensuelle suffirait.
Dans la céphalée de tension, la stimulation magnétique transcrânienne est à l’étude pour stimuler des régions du cerveau.
Pour sa part, la toxine botulique A (Botox ®), assez efficace dans la migraine chronique, n’a toujours pas le feu vert des autorités sanitaires françaises.
Attention ! De nombreuses tentatives de microchirurgie (incisions de certains muscles entre les sourcils, infiltrations de substances diverses) sont vantées un peu partout. Elles sont au mieux inutiles, au pire dangereuses.