Omicron : les départements les moins touchés cette semaine
Le variant Omicron, identifié en novembre dernier en Afrique du Sud et présent sur le sol français depuis début décembre, a exacerbé l’épidémie de la COVID-19. Alors que la nouvelle souche est suspectée dans 87,5% des cas positifs de l’Hexagone, le taux d’incidence moyen a grimpé jusqu’à 2811 cas pour 100 000 habitants, le 12 janvier 2022 selon les données publiées sur COVIDTracker.
Toutefois, certains départements semblent encore épargnés par la virulence du virus. On vous les liste dans notre diaporama.
Omicron : "apprendre à vivre avec ce virus ne veut pas dire accepter ce nombre de décès"
Le variant Omicron est très contagieux. Néanmoins, les observations des professionnels de santé et plusieurs études semblent indiquer qu’il est moins dangereux. L'agence sanitaire britannique (UKHSA) estime que le risque de développer une forme grave avec Omicron est trois fois moins élevé qu’avec la souche Delta. Les hospitalisations sont également moins nombreuses et moins longues. Toutefois, bien que ces données soient rassurantes, le directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a tenu à rappeler que la prudence doit rester de mise.
Lors d’un point presse organisé le 12 janvier 2022, Tedros Adhanom Ghebreyesus a expliqué "le nombre de décès signalés chaque semaine est resté stable depuis octobre de l'année dernière, à une moyenne de 48 000 décès par semaine". "Alors que le nombre de patients hospitalisés augmente dans la plupart des pays, il n'est pas au niveau observé lors des vagues précédente s".
Pour lui "la gravité réduite d'Omicron" et "l'immunité généralisée acquise par la vaccination ou une infection antérieure" peuvent expliquer cette baisse de mortalité. "Mais soyons clairs : bien qu'Omicron provoque une maladie moins grave que Delta, il reste un virus dangereux, en particulier pour ceux qui ne sont pas vaccinés", rappelle-t-il.
"L'écrasante majorité des personnes admises dans les hôpitaux autour du globe ne sont pas vaccinées. Bien que les vaccins restent très efficaces pour prévenir les maladies graves et les décès, ils n'empêchent pas complètement la transmission (...). Plus de transmission signifie plus d'hospitalisations et plus de décès", explique-t-il.
"Près de 50 000 décès par semaine, c'est 50 000 décès de trop. Apprendre à vivre avec ce virus ne veut pas dire qu'on peut, ou qu'on doit, accepter ce nombre de décès", conclut-il.
Hautes-Alpes : 0% des cas liés à Omicron
Isère : 0% des cas liés à Omicron
Ain : 0% des cas liés à Omicron
Meurthe-et-Moselle : 0% des cas liés à Omicron
Puy-de-Dôme : 0% des cas liés à Omicron
Nièvre : 0% des cas liés à Omicron
Cher : 0% des cas liés à Omicron
Indre : 0% des cas liés à Omicron
Charente : 0% des cas liés à Omicron
Tarn-et-Garonne : 0% des cas liés à Omicron
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