De la prudence et de nouvelles recherches
Puisqu'il s'agit d'analyses préliminaires, aucun de ces résultats ne prouve qu'une consommation de ces suppléments induit une augmentation du risque de cancer de la prostate.
Mais au vu des résultats, il a été demandé aux participants d'arrêter leur traitement. Ils continueront d'être suivis pendant 3 ans afin d'évaluer les effets à long terme de la supplémentation en vitamine E et en sélénium. A suivre…
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