Boire un petit coup, c’est doux
L’alcool procure une sensation de bien-être, de détente.
Qui se ressent très vite. Dès la première gorgée de mojito, de pinacolada, de margarita, de rhum arrangé, de punch ou autre cocktail fort en alcool. Dès le premier verre de rosé, de champagne, de sangria, de bière qui le sont moins. Cela fait du bien et donne envie de continuer.
Surtout si : on n’a pas le moral, on est fatigué(e), on s’ennuie, l’être envié vous ignore, les enfants vous énervent, etc.
Alors, dans l’euphorie générale qui s’installe (ou pour se mettre vraiment à l’unisson), on se ressert un autre verre. Et… sans même s’en apercevoir, on dépasse les limites.
Boire un petit coup, c’est dangereux
Demain sera un autre jour. Si celui-ci et les suivants sont sans alcool, une soirée d’été - ou même une journée - bien arrosée, ça n’est pas vraiment grave.
Sauf si on prend le volant ou si on grimpe sur sa moto pour rentrer à la maison et qu’au passage, on tue quelqu’un : 39 % des morts sur la route sont dus à l’alcool et la fréquence des accidents est plus élevée pendant les mois d’été.
Sauf si les jours se ressemblent. Car on prend très vite l’habitude de boire un petit coup de trop. C’est ainsi qu’on devient alcoolique sans même s’en rendre compte.
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