- 1 - Vous laissez entendre, dès le début de votre ouvrage, que tous les enfants sont perturbateurs...
- 2 - Que faire pour éviter que l'heure du coucher ne se transforme systématiquement en crise de larmes ou d'énervement ?
- 3 - Y a-t-il des âges où les enfants sont plus perturbateurs ?
- 4 - Tout ce qui, en somme, rompt un équilibre apparent ?
- 5 - Vous parlez également dans votre livre d'attitudes régressives, comme le fait de vouloir dormir avec papa et maman...
- 6 - Que faire pour les aider à ne pas vivre ces changements comme des bouleversements ?
- 7 - Y a-t-il des attitudes parentales qui alimentent le côté " perturbateur " de l'enfant ?
- 8 - L'autorité est-elle une réponse adaptée aux enfants perturbateurs ?
- 9 - Et avec de l'amour ?
Y a-t-il des âges où les enfants sont plus perturbateurs ?
Oui, généralement les deux premières années de leur vie, parce que c'est essentiellement durant cette phase de développement qu'ils ont à acquérir des rythmes : repas, sommeil, etc. Ensuite, quand ils grandissent, d'autres éléments peuvent venir les perturber : la naissance d'un petit frère ou d'une petite soeur, la mort d'un membre de la famille, un déménagement, la séparation des parents, etc.
Tout ce qui, en somme, rompt un équilibre apparent ?
Exactement. L'enfant peut alors connaître des difficultés scolaires, se renfermer sur lui-même. La perturbation peut également se traduire dans le corps, par le corps : troubles alimentaires, mise en danger de soi
Recevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de E-sante.
Votre adresse mail est collectée par E-sante.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.