- 1 - Vous laissez entendre, dès le début de votre ouvrage, que tous les enfants sont perturbateurs...
- 2 - Que faire pour éviter que l'heure du coucher ne se transforme systématiquement en crise de larmes ou d'énervement ?
- 3 - Y a-t-il des âges où les enfants sont plus perturbateurs ?
- 4 - Tout ce qui, en somme, rompt un équilibre apparent ?
- 5 - Vous parlez également dans votre livre d'attitudes régressives, comme le fait de vouloir dormir avec papa et maman...
- 6 - Que faire pour les aider à ne pas vivre ces changements comme des bouleversements ?
- 7 - Y a-t-il des attitudes parentales qui alimentent le côté " perturbateur " de l'enfant ?
- 8 - L'autorité est-elle une réponse adaptée aux enfants perturbateurs ?
- 9 - Et avec de l'amour ?
Y a-t-il des attitudes parentales qui alimentent le côté " perturbateur " de l'enfant ?
Oui, justement : penser que devenir adulte, c'est rayer cette partie de notre histoire qu'est notre enfance. Et puis il y a aussi les rapports de force trop intenses, les attitudes invasives, le partenariat mal compris : prendre l'enfant pour son confident ou le tenir à l'écart de la vie de famille. Les enfants sont également très sensibles à l'injustice.
L'autorité est-elle une réponse adaptée aux enfants perturbateurs ?
Oui, mais tout est une question de dosage. Aujourd'hui, les parents semblent parfois un peu perdus entre le donner trop et le donner trop peu. Beaucoup veulent être parfaits, supportant de moins en moins les oppositions, les conflits, qu'ils analysent comme des échecs remettant en cause leur politique éducative Seulement, ces conflits font partie de la croissance de l'enfant. En transgressant, en perturbant, l'enfant va s'approprier les règles. D'où l'importance de tenir, face à lui, une position ferme, bien assurée, avec des autorisations, avec des interdictions
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