Un espoir qui mobilise...
L'AFSSAPS était défavorable au retrait du Di-Antalvic mais s'est retrouvée en position minoritaire face au choix européen. Elle doit donc se plier sans pour autant renoncer à trouver une solution dérogatoire qui permettrait de continuer de prescrire le Di-Antalvic sous certaines conditions. 'Il faut étudier toutes les possibilités réglementaires qui offrirait un maintien sous condition du Di-Antalvic', insiste le docteur Castot. La mobilisation des malades a son rôle à jouer. Elle s'organise côté européen par l'intermédiaire des associations de patients qui ont pris la mesure des conséquences d'un retrait. Elle est encore désorganisée en France et peu fédérée. C'est pourtant un levier efficace dans la décision finale de la Commission européenne qui prend en compte l'avis des citoyens européens.
Je bouquine…
Vaincre la douleur, D'Alain Serrie, Éditions Michel Lafon, 19 €.
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