- 1 - Incontinence urinaire : la ménopause et la grossesse peuvent être en cause
- 2 - L’incontinence d’effort, la plus fréquente
- 3 - L’incontinence liée à l’hyperactivité de la vessie
- 4 - Le fardeau psychologique de l’incontinence
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- 6 - L’exercice physique à faible impact bénéfique pour le périnée
- 7 - Une amélioration de la qualité de vie génito-urinaire
- 8 - Incontinence : mieux prendre en compte la santé physique et cognitive
Incontinence : mieux prendre en compte la santé physique et cognitive
Pour les auteurs de l’étude, ces observations devraient amener à davantage considérer le rôle potentiel de l’activité physique et du yoga dans les stratégies de traitement, en raison de leur répercussion positive sur la santé globale. "L’activité physique contre l'incontinence est une technique utile", assure Stephanie Faubion, directrice du Centre pour la santé des femmes de la Mayo Clinic et directrice médicale de la Menopause Society. Et de conclure : "Nous ne devrions pas nous concentrer exclusivement sur les traitements qui visent uniquement les organes ou tissus génitaux ou des voies urinaires inférieures. Nous devrions tenir compte de la manière dont les fonctions urinaires et sexuelles des femmes sont influencées par d'autres aspects de leur santé physique et cognitive."
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