- 1 - Incontinence urinaire : la ménopause et la grossesse peuvent être en cause
- 2 - L’incontinence d’effort, la plus fréquente
- 3 - L’incontinence liée à l’hyperactivité de la vessie
- 4 - Le fardeau psychologique de l’incontinence
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- 6 - L’exercice physique à faible impact bénéfique pour le périnée
- 7 - Une amélioration de la qualité de vie génito-urinaire
- 8 - Incontinence : mieux prendre en compte la santé physique et cognitive
Le fardeau psychologique de l’incontinence
Chez les femmes qui y sont sujettes, l’incontinence urinaire s’accompagne d’un fardeau psychologique, charriant potentiellement de l’anxiété, de l’angoisse et de l’impuissance. Des troubles du sommeil peuvent également découler de ces problèmes génito-urinaires en raison des levers à répétition la nuit.
Par ses symptômes handicapants, ce trouble peut ternir le bien-être psychologique et la vie quotidienne. La gêne et la peur ressenties à l’idée d’être victime d’un accident dans une situation de la vie quotidienne (au travail par exemple), peuvent mener à un retrait progressif des activités sociales et à un isolement relatif. La réticence à en parler à son entourage (cela peut être vécu comme une honte) ou à son médecin se matérialise par une difficulté de prise en charge de cette affection.
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