L’infidélité entache très souvent une relation et marque pour beaucoup la fin de leur couple. Toutefois, les adultères n’ont pas les mêmes origines. Une étude récente, menée par 3 psychologues américains, met en lumières les 8 motivations clés qui poussent les gens à aller voir ailleurs... et la plupart n’ont pas de rapport direct avec le sexe en lui-même ! Tour d’horizon dans notre diaporama.

Infidélité : elle cause une rupture que dans 1 cas sur 5 

Les psychologues Dylan Selterman, Justin Garcia et Irene Tsapelas ont interrogé 495 personnes ayant reconnu avoir été infidèles. Premier constat : les relations extra-conjugales ne sont pas dénuées d’émotions. Plus de 6 sur 10 ont admis avoir exprimé de l’affection pour leur amant(e). Près de 4 sur 10 ont eu des conversations intimes. En revanche, seulement 11,1% des sondés volages ont dit “Je t’aime” pendant ces échanges.

Les infidélités se traduisent principalement par des baisers (86,7%) et des câlins (72,9%). La masturbation mutuelle (53,5%), le sexe oral (46,4%) ou vagina l (53,3%) font également partie des pratiques les plus courantes. En revanche, le sexe anal et l'absence de contact physique sont moins répandus dans les relations adultérines, représentant respectivement 6,1% et 5,7% des réponses données. 

Étonnamment, ces activités "crapuleuses" n’ont été la cause directe de la rupture de la relation conjugale que dans 1 cas sur 5 (20,4%). Quasiment le même pourcentage des couples (21,8%) sont restés ensemble bien que la personne trompée ait découvert l'accro dans le contrat. Près de 3 infidèles sur 10 (28,3%) sont restés avec leur moitié sans que leurs écarts aient été démasqués. Les autres couples de l'étude se sont séparés pour d’autres raisons que la tromperie.

Les psychologues montrent toutefois que l’avenir du ménage dépend des raisons qui ont conduit à aller voir ailleurs. Tour d’horizon des principales causes dans notre diaporama.