- 1 - Zinc, cuivre, sélénium, fluor, iode…
- 2 - Médecine intuitive et ancestrale
- 3 - Naissance de l’oligothérapie
- 4 - Le terrain d’un individu
- 5 - En quoi consiste l’oligothérapie ?
- 6 - Dans le respect du corps
- 7 - Le rôle des oligo-éléments
- 8 - Dans quel cas utiliser les oligo-éléments ?
- 9 - Sous quelle forme les prendre ?
- 10 - Oligo-éléments : quand les prendre ?
- 11 - Je bouquine…
- 12 - Shopping
En quoi consiste l’oligothérapie ?
« Le but de l’oligothérapie, poursuit Arielle Menard, c’est de bien connaître une personne, ses prédispositions, ses points forts et ses points faibles…, afin de renforcer son terrain, de faire en sorte qu’elle soit plus forte, qu’elle soit moins fragile face à son environnement. »
Indispensables à tout âge et à toute période de la vie (croissance, maternité, stress, vieillissement prématuré…), l’oligothérapie consiste donc à administrer un ou plusieurs oligoéléments à faibles doses :
- soit pour prévenir un déficit ou une carence, ou pour les compenser,
- soit pour obtenir un effet thérapeutique en complément d’autres recours médicaux, lors de différentes maladies.
Car précisons que l’oligothérapie est une médecine complémentaire à la médecine allopathique et qu’en aucun cas, elle ne peut se substituer à elle.
L’avantage est qu’il n’existe aucun risque d’interaction entre oligo-éléments et médicaments allopathiques.
Dans le respect du corps
« On peut vraiment parler de médecine douce, souligne Arielle Ménard, dans le sens où ce sont de toutes petites quantités d’oligo-éléments.
Il n’y a donc pas de risque de surdosage.
Cela convient à tous et à tout âge, les enfants, les personnes âgées, les personnes hospitalisées, même les animaux et les plantes. Tous les êtres vivants peuvent être traités et soignés par l’oligothérapie.
Et puis, il n'existe aucune contre-indication.
Ils sont très bien tolérés, ne sont pas toxiques et sans effets secondaires, puisque l’on n’utilise que des oligo-éléments dont le corps a besoin au quotidien pour fonctionner, pour se nourrir, pour fabriquer de nouveaux tissus, pour se défendre, pour se réparer… On est toujours dans le respect du corps, de sa physiologie et l’on travaille sur le renforcement de la résistance et de la vitalité de l’organisme. »
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